Politique de la petite enfance
Evolution du nombre d’inscrits en crèche
- Juin 1995, 2 crèches, 130 places au total : Françoise Dolto et Gambetta (dont une partie dans les locaux de la halte garderie) et la crèche familiale avec 46 assistantes maternelles
- Septembre 2001 : 3 crèches et 191 places
L’ouverture d’une nouvelle crèche, la Maison de la Petite Enfance et la réorganisation de la crèche Gambetta et de Dolto permettent d’accueillir 191 enfants.
- Novembre 2007 : 6 crèches et 330 places
L’ouverture de la crèche de l’Aulnoy en 2004, les extensions réalisées en 2006/2007 à Dolto et à la Maison de la petite Enfance, puis l’ouverture de la crèche du Parc en Novembre 2007 nous permettent d’accueillir au total 330 enfants
Les principales difficultés à l’accueil de la Petite Enfance :
- Ouvrir une nouvelle crèche représente un investissement financier lourd : plus de 700 000 euros pour la crèche du Parc alors que les locaux étaient préexistants et 750 000 euros pour la création de la crèche de l’Aulnoy. Au-delà, surtout, le coût de fonctionnement s’avère élevé : la nouvelle crèche du Parc, par exemple, a exigé la création de 25 postes à temps plein. Or, les communes, hormis les contributions de la CAF, sont appelées à assurer, seules, ces charges qui de par leur poids, limitent le rythme de création des établissements pourtant indispensables.
- Les assistantes maternelles, en crèche familiale municipale ou en assistantes libres, sont de moins en moins nombreuses ; deux raisons à cela :
* L’agrément est particulièrement difficile à obtenir en Seine et Marne
* Ce métier est insuffisamment professionnalisé et malgré des tarifs élevés, de moins en moins prisé par les jeunes.
Depuis 1995, la municipalité a mobilisé tous les moyens dont elle disposait pour accroître les capacités d’accueil. Leur insuffisance s’explique d’abord par les retards accumulés par nos prédécesseurs. Aussi les engagements pris par notre municipalité ne peuvent être que d’autant plus vigoureux pour l’avenir : augmenter de 50% le nombre de places d’ici à 2010 et le doubler d’ici à 2015.